YMCA Togo renforce les capacités de ses volontaires en technique de plaidoyer

YMCA Togo renforce les capacités de ses volontaires en technique de plaidoyer

L’UCJG/YMCA-TOGO a organisé du 28 au 30 Avril 2014 à CAFAP Bagbé une formation sur les techniques de plaidoyer, à l’endroit  de 25 jeunes venus de 4 régions du Togo  (maritimes, plateaux, centrale et kara)

Cette formation qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet Soutien aux Défenseurs des Droits de l’Homme (S2DH), a pour objectif de renforcer les capacités de ces jeunes en techniques de plaidoyer et de les outiller afin de leur permettre de mener des campagnes de plaidoyer en faveur des jeunes en conflit avec la loi.

Rappelons que le projet S2DH vise à renforcer les droits de l’Homme et les libertés fondamentales des jeunes en conflit avec la loi au Togo. D’une manière spécifique, ce projet permet de faciliter l’accès à la justice pour les jeunes en conflit avec la loi dans quatre régions et réduire les cas de violation des droits de l’Homme dans les centres de détention grâce au renforcement des capacités et activités de défenseurs des droits de l’Homme au Togo.

Akossiwa DEGBE, une participante venue de Lomé confie que,

Cette formation a été une occasion pour moi de maîtriser le concept de plaidoyer et de connaître ses techniques. Ce qui m’a particulièrement intéressé c’est le processus de planification du plaidoyer et l’établissement d’un plan d’action. Toutes ces connaissances me permettront de bien faire un  plaidoyer et de m’engager dans la défense des droits des jeunes en conflit avec la loi.

Une seconde vague de 25 jeunes sera formée en juillet prochain sur le même thème en plus de 20 représentants des OSC de défenses des droits humains qui encadreront ces jeunes dans leurs démarches de plaidoyer.

Notons S2DH est financé par Y Care International et Union Européenne. Démarré depuis novembre 2013, ce projet prendra fin en décembre 2014.

                                                                                                                      A. ADAMA et M. AKPALO

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